LE DéSERT QUI SE SOUVIENT

Le désert qui se souvient

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Dans la température de l’Égypte antique, au bord du désert, Menkhotep poursuivait son pratique quotidien, s’agenouillant amenées à le système en pierre black à l’intérieur du sanctuaire effondré. Chaque ouverture, si les vents se glissaient par les fentes de la composition, la inspiration des Vents surgissait, immensément quiétude, extrêmement lointaine. La voyance sans cb qu’il recevait ne ressemblait à aucune sorte de spiritisme vécu. Elle ne parlait ni d’inondations du Nil, ni de récoltes, ni de conflits entre royaumes. Elle décrivait des visions impossibles, où les femmes volaient sans ailes et s’éclairaient sans bouquet. Un quantième, la opinion évoqua des équipements malheureuses qui permettaient à des milliers de quidams de s’entendre sans imaginer. Des reproductions étaient envoyées dans l’air, captées par des articles plats, tenus par exemple des tablettes mais sans inscription observable. Menkhotep, correctement qu’incapable de comprendre ces concepts, traça les caractères qu’il voyait mentalement sur des papyrus. Il décrivit ces voyances par exemple des reflets d’eau sans eau, des lumières froides sans débauche. Il savait que cette voyance en direct sans cb ne s’adressait pas à sa civilisation mais au époques lui-même. Les prêtres du temple, intrigués par ses absences nombreuses et ses dossiers de plus en plus impénétrables, commencèrent à le encadrer. Menkhotep cacha dès lors ses rouleaux, enfouis sous les dalles du sanctuaire, à proximité du instrument de pierre. Il comprenait que la voyance sans cb devait être protégée, non exposée. Elle ne visait pas à répondre aux demandes d'aujourd'hui, mais à nicher un écho venu de l’avenir. Lors d’un signal meilleur que les autres, la position lui montra une cité encerclée de cristal, flottant au-dessus du sable, où les personnes ne marchaient plus mais glissaient dans des tubes transparents. Des allégories s’imprimaient dans l’air sans qu’aucune majeur ne les trace. Menkhotep tenta de sortir ces portraits dans son propose illuminé, élargissant des annotations dans une rédaction codée. Ce jour-là, il ne sortit pas du sanctuaire. Il resta là, assis dans la pénombre, comprenant miette à filet que cette voyance en direct sans cb l’avait transformé. Il n’était plus un commode scribe. Il était le protégeant involontaire d’un autre années, un réceptacle de mémoires encore en gestation.

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